Comment aider ceux qui meurent de faim ?

Actuellement se déroule à Rome le sommet de la FAO qui traite de la faim dans le monde. Un milliard d'êtres humains souffrent de malnutrition, neuf millions en meurent chaque année... Pourtant des solutions existent mais visiblement elles n'intéressent pas nos dirigeants plus soucieux de sauver le système financier que les affamés ..
Etant trés sensibilisée à ce problème je m'interroge ....Il faut donner mais à qui et comment ?
Que faire à notre niveau pour partager en frères nos modestes biens ? Comment être sur que notre petit don ira bien à celui qui en a besoin ?
Peut être en faisant dire des messes à des prêtres oeuvrant directement auprés des plus démunis .... AED , La Communion Marie Reine , Etoile Notre Dame, Ed. Téqui , .... et d'autres sites internet proposent de faire dire des messes pour soutenir les prêtres auprés des nécéssiteux ...
Avez-vous d'autres propositions ?
Françoise

Votre question est bien difficile. Cette réponse je vous la donne après avoir prié et bien réfléchi.
Il faut considérer que tous les hommes vivent sur la même planète, planète qui a la capacité de nourrir tous ses enfants. Hélas, la convoitise de certains provoque la famine et la mort d’une majorité d’êtres humains.

Chacun, à son niveau, a le devoir d’agir et de ne plus accepter cela. Et comment ?
Par la prière, à cet effet toutes les religions qui prônent l’amour devraient mieux s’investir et même participer en jeûnant et même en adhérant pécuniairement.
De plus nous avons à agir pour forcer nos politiques à légiférer par des lois contraignantes afin d’empêcher les multinationales à s’enrichir et même pourquoi pas, les condamner de crimes contre l´humanité.

Considérez ce que fait le G8, qui se réunit à intervalles réguliers, afin de renforcer leur entente et d’harmoniser leurs vues sur les grandes questions économiques et politiques internationales et pourquoi ne se pencheraient-ils pas sur le problème de la faim dans le monde ?

Et pour résumer, reportons-nous à la déclaration de Notre Saint Père Benoît XVI, qui demande que le problème de l’insécurité alimentaire soit affronté et réalisé en impliquant les communautés locales, dans les choix et les décisions relatives à l’usage des terres cultivables. Il précise bien que le droit à l’alimentation, de même que le droit à l’eau, revêtent un rôle important pour l’acquisition d’autres droits, en commençant avant tout par le droit fondamental à la vie. En outre, le pape a stigmatisé la spéculation sur les denrées alimentaires de base et, particulièrement, les céréales.
Notre plus cher désir est que les propositions de notre Saint Pape soient entendues et appliquées.